[#800080]Oh non non, surtout pas !! C\'est une armoire très précieuse, héritée de notre famille, vous ne pouvez pas casser la serrure ![/#]');"> M. Handrin commença à paniquer.
Oh non non, surtout pas !! C'est une armoire très précieuse, héritée de notre famille, vous ne pouvez pas casser la serrure !
Burn Brad
" Je suis désolé monsieur mais mes ordres sont formels, il va falloir que l'on force la porte dans ce cas"
Les colères de Brad étaient très efficaces pour stimuler les zèle de ses soldats, tuer les plus incompétents aussi.
Marina Krakovski
[Dans le grenier, dans le grenier ^^]
M. Handrin blanchit légèrement.
Dans ma poche...
Et bien... Non... C'est une vieille armoire qui appartenait à ma belle-mère, nous avons perdu la clé il y a longtemps... C'est pour ça qu'on l'a montée au grenier...
Burn Brad
Les soldats redescendirent
" y'a une armoire fermée à clef dans une des chambres, sinon nous n'avons rien trouvé"
Il se tourna vers Mr Hendrin
" Est ce que vous savez ou se trouve la clef ?"
Marina Krakovski
Le couple Handrin priait intérieurement, tandis que, dans sa chambre, la petite jouait aux poupées dans sa chambre. Claude Handrin pensa : Heureusement que j'ai fermé l'armoire à clé... Espérons que ça suffira.
Burn Brad
Les militaires entrèrent
" Regardez partout, chaque pièce, chaque dessous de lit, chaque placard" Ordonna leur officier.
Marina Krakovski
M. Handrin réfléchit, puis finit par céder : il avait une femme, une petite fille, un travail... Il n'avait pas le choix, il devait coopérer en priant qu'ils ne trouvent pas cette étrange et splendide femme rousse. Il se mit sur le côté pour laisser les militaires entrer.
Entrez si vous le voulez, je ne cache rien.
Burn Brad
" Monsieur, nous avons ordre de perquisitionner, montrez vous coopératifs et tout ira bien."
Marina Krakovski
La porte de la maison était grande ouverte, et Claude Handrin répondait au militaire sèchement :
Nous ne l'avons pas vue. Vous vous trompez d'endroit.